Dans moins de 24 heures, le premier arrondissement de Ntoum entend tourner la page de l’incurie électorale qui a prévalue le 27 septembre dernier. Et, qui a amené au report des élections.
Camélia Ntoutoume Leclercq – candidate pour le compte du Parti démocratique gabonais – en course a été investie de l’onction populaire par les populations. Sillonnant les différents quartiers de la circonscription dans une campagne de proximité de type marathon, la candidate du PDG a reçu une adhésion massive des populations. Des rencontres qui traduisent des liens étroits avec la base et les masses sociales de Ntoum.
Pour renforcer cet acquis inestimable, plusieurs hiérarques de l’ancienne formation au pouvoir, dont son le Président Blaise Louembè et le Membre du bureau politique Gaston Midoungani entre autres, ont effectué le déplacement de Ntoum pour soutenir leur candidat. Mais également, pour assurer la présence sur le terrain d’un parti qui, petit à petit, (re)trouve son ardeur d’antan.
Que ce soit en langues vernaculaires (fang, puni, nzebi, sango, obamba, kota…) ou en français, Camélia Ntoutoume Leclercq a sollicité les suffrages des populations pour un pacte de solidarité durable, inclusif et participatif, tout en soulignant l’importance qui est de privilégier la paix et l’unité au-dessus des clivages dans l’intérêt de la commune.
Un plaidoyer qui sera, certainement, matérialisé dans les urnes au soir du 19 octobre pour une consécration véritable.
Thierry Mocktar




