Accusée à tort par les politiques d’impartialité en faveur du pouvoir qui l’emporte toujours devant les contentieux électoraux portés auprès de la haute juridiction, la Présidente de la Cour Constitutionnelle est toujours dans la ligne de mire d’une certaine opposition. En réalité et selon certaines des observations, le problème ou encore la naissance de ces accusations se trouve bien ailleurs.
Cela tient du faite que ces gens dans leur “machisme” ne supportent pas en réalité de voir Marie-Madeleine Mborantsuo, en tant que femme, réussir là où, eux, les hommes ne se seraient pas affirmés. Alors que la promotion des valeurs morales, de mérite et de compétence de la femme gabonaise sont mises en évidence depuis plusieurs années.
Et dont le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, a décrété la décennie. Pourtant ce que les prétentieux “accusateurs” devraient se demandé est de savoir pourquoi, eux, ont très souvent failli à leurs devoirs sans y pensé à l’intérêt général du pays. Marie-Madeleine Mborantsuo a pourtant participé à la création des institutions références dans au Gabon, comme la Cour des Comptes et la Cour Constitutionnelle.
Des institutions qui font l’honneur du pays pour leur dynamisme et reconnu pour la stabilité institutionnel démocratique. Pourquoi alors tant d’acharnement envers une patriote convaincue qui a tant donné par sa participation pour dans la rédaction de la Constitution de son pays et continue de donner dans d’autres domaines pour l’intérêt général de la Nation.
Ce qu’il y’a lieu de savoir est qu’en tant que juge constitutionnel, Marie-Madeleine Mborantsuo, restera toujours à sa place avec un bilan hautement élogieux à défendre et ne pourra prétendre le ternir en allant à la conquête d’autres challenges comme on le lui prétend.
« Je ne les empêche pas d’atteindre leur objectif. Mais je suis déterminée à préserver la stabilité de ce pays. Avec mes collègues, chaque fois que nous serons saisis, nous rendrons nos décisions en droit et non en opportunité », se défend à dire Marie-Madeleine Mborantsuo à ses heures perdues lorsque l’occasion se présente.
Thierry Mocktar
