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jeudi, 18 avril 2024

Travaux routiers : Fabrice Andjoua Bongo Ondimba pris pour cible

Lorsque l’on se spécialise dans la désinformation en matière de presse, il y’a lieu de s’inquiéter face à la dérive de la communication qui, dans un Etat de droit comme le Gabon, est un baromètre de la liberté publique et de l’expression démocratique qui en découlent. Surtout quand on se veut être une presse sérieuse.

La question ultra-sensible du réseau routier national et des malversations financières faites autour de la question  méritent d’être abordés avec parcimonie, et non pas avec une désinvolture, comme ont osé le présenté certains confrères dans une de leur parution en date du Mardi 16 février 2021 dernier, ndlr, en mettant vertement en cause de hauts responsables de la Direction générale du budget et des finances publiques (DGBFIP) et ceux de la Direction générale des services du trésor et de la comptabilité publique (DGSTC).

De telles inobservations des règles de la déontologie professionnelle relèvent simplement du “mercenariat” journalistique, serions-nous tentés de le dire. Tant plus que les compatriotes qui sont à la tête de ces administrations financières ont toujours su éviter d’être confronté à des conflits d’intérêts  avec quiconque, puissent qu’ils connaissent parfaitement le milieu avec ses multiples intrigues. Il s’agirait clairement d’une cabale savamment ourdie à leur encontre par d’autres compatriotes qui “pensent”, peut-être, avoir été trop longtemps écartés de leurs prestigieuses fonctions d’antan.

Et “estiment”, tout en croyant détenir des informations avérées,  les retrouvés en usant de diffamation et de malveillance à travers la presse afin de “s’attirer” à nouveau les bonnes grâces des décideurs au moment où notre pays aspire à une nouvelle orientation dans sa gouvernance  économique. La publication d’un tissu de mensonges impliquant Fabrice Andjoua Bongo Ondimba dans le processus des malversations du réseau routier national vise en réalité à nuire à la dignité de l’homme sans tenir compte des actes qu’il pose en faveur de la mise en œuvre d’une bonne gestion du budget de l’État.

La création des organismes spécialisés comme l’ANGTI (Agence nationale des grands travaux et des infrastructures), pour lui servir de bras séculier dans le contrôle, l’exécution et la validation des chantiers et marchés publics a permis à l’État de prévenir les détournements et malversations financières dans ce secteur. Il ne revient donc pas à un individu, quelque soit son statut ou rang, de s’approprier le décaissement des sommes destinées à la construction des infrastructures comme on aurait voulu l’attribuer au Directeur général du budget et des finances publiques.

Pourquoi donc tant d’acharnement sur un compatriote qui œuvre au quotidien pour un meilleur assainissement dans la gestion du budget de l’Etat ?

Thierry Mocktar         

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