Les musulmans de la ville de du grand blanc ont célébré dernièrement la fête de Tabaski en rang dispersé, selon l’ordre du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon, les deux mosquées de la ville devraient s’unir pour ladite célébration.
Décidément, plus rien ne va au sein de la communauté musulmane de la commune de Lambaréné. Nonobstant les efforts de réconciliation entamés par les plus hautes autorités du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon (CSAIG). On aurait cru que l’arrivée de Steeve Muhammad Avissa, président provincial du CSAIG dans le Moyen-Ogooué devrait mettre fin au sempiternel problème de leadership entre l’imam de la mosquée du grand village et son homologue d’Isaac.
À croire que le torchon brûle au sein de la communauté. En effet, les musulmans de la mosquée du grand village, située dans le 1er arrondissement, se sont obstinés à répondre à l’invite du Conseil Supérieur des Affaires Islamiques du Gabon. Une invite, selon laquelle toute la communauté de la commune devrait se retrouver au stade de l’aéroport dans le 2e arrondissement pour une cérémonie d’ensemble.
Mais « à l’heure où nous en sommes, celle de la reformation et à l’unité de la communauté musulmane de Lambaréné, il aurait été sage pour les contradicteurs de la décision du haut conseil de s’arrimer pour que cela soit un profit à l’endroit du plus grand nombre », a laissé entendre Ibrahim Ntoutoum’Obiang-Endama, responsable de la communication du conseil provincial.
Généralement, débutée à 8 h 30, la grande prière a commencé avec un grand retard. Afin d’attendre que ceux du 1er arrondissement rallient le 2e. Malheureusement, ils ont fait preuve d’une indiscipline notoire. Le constat fait entrevoir que ce sont des sujets ouest africains qui sont acteurs principaux du désordre observé actuellement.
Newman
