L’affaire soit disant d’expropriation par un sujet Libanais d’un terrain à Glass, dans le 4e arrondissement de Libreville, ancienne propriété d’un compatriote Gabonais, feu Georges BOUANGA NGUIMBI décédé il y a quelques années, défraie la chronique depuis quelques jours au Gabon.
Si on s’en tient à la décision de justice et les documents de titre foncier en notre possession, feu Georges BOUANGA NGUIMBI, ancien propriétaire dudit terrain, avait obtenu son titre foncier en 1971 avant de le céder en 1977 à deux frères Libanais dont Jaber RASHID IMAD et Abul HASSAN qui a leur tour, ont rétrocédé de son vivant, la parcelle à Sieur Jaber NZONG IMAD, l’actuel détenteur du titre foncier. (dudit) parcelle depuis 1997.
Toute chose que n’aurait pas compris Mr. Gervais FILA, parent du défunt qui a attendu son décès pour venir opérer sur les installations sous forme de contrat de bail à plusieurs expatriés sur cet espace qui ne lui appartient pas et dont il ne détient aucun document légal.
Selon les informations recueillies par notre rédaction auprès des personnes proches du dossier, une décision de justice avait même condamné à reverser dans un compte séquestre, la somme de 2.150.000 francs CFA, représentant les loyers mensuels collecté par M. Gervais FILA. L’homme ne s’est jamais exécuté depuis 24 ans.
Face à l’entêtement de Mr. Gervais FILA, M. Jaber NZONG IMAD, propriétaire légal du terrain n’a pas eu d’autres choix que de recourir à l’application stricte de la loi pour que justice soit faite dans l’objectif d’obtenir gain de cause. Aux dernières nouvelles, nous apprenons que Jaber NZONG IMAD serait disposé à offrir pour la mémoire du défunt et la paix sociale, un terrain pour la famille dans le grand Libreville.
Pierre BOUTAMBA
Ici l’on voit la vérité qui se révèle seule, exactement comme dans la Bible avec le jugement de Salomon . La fausse mère accepte de diviser le bébé. Par comparaison le faux propriétaire accepte fait détruire le bâtiment.
Il revient à la justice d’apprécier elle même.