A l’instar de la communauté internationale, le Gabon, a commémoré le 8 mars dernier, la Journée internationale des droits de la Femme (JIDF) décrétée par l’Organisation des nations unies (ONU). Le Gabon, en effet, compte parmi le peloton de tête des pays des plus avancés en matière d’égalité du genre en Afrique subsaharienne et de promotion de la femme d’accéder aux plus hautes fonctions de l’État.
Pour consacré ce leadership, dans la stratégie de promotion des droits de la femme ainsi que la réduction des inégalités entre les femmes et les hommes élaborée avec le concours de la Première Dame, Sylvia Bongo Ondimba et la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille (FSBO).
Le gouvernement gabonais sous l’impulsion du volontarisme du Président de la République, Ali Bongo Ondimba qui a décrété la Décennie de la Femme (2015 – 2025), des cadres législatifs et réglementaires en faveur d’une plus grande implication et d’une plus grande prise en compte des femmes dans la gestion des affaires publiques de l’État.
En effet, le Gabon a extrait de son corpus juridique toutes les normes qui constituaient les obstacles à l’épanouissement social et professionnel à l’égard des femmes.
Ancienne membre du gouvernement en charge des question de la promotion de la femme et de la famille, la députée Angélique Ngoma, a profité de cette journée de sensibilisation et d’action en faveur des femmes pour saluer le leadership du Gabon sous la dynamique des plus hautes Autorités du pays en tête desquelles, le président de la République, Ali Bongo Ondimba et reconnu par la communauté internationale.
Notamment en ce qui concerne le renforcement de la législation pénale pour y avoir introduit des peines et des sanctions plus dissuasives contre les auteurs de violences, de discriminations et de harcèlement à l’égard des femmes.
Thierry Mocktar
