Le Dialogue National Inclusif, lancé à la suite de la Grande Assemblée Plénière du 6 avril dernier, a débuté ses travaux en commission et sous-commission ce lundi 8 avril, marquant ainsi une étape cruciale dans la quête de solutions pour les défis qui se posent au pays.
Les participants se sont répartis dans différentes commissions pour se pencher sur des sujets divers et essentiels. La Commission politique, par exemple, a formé quatre sous-commissions, chacune se consacrant à des aspects clés tels que les régimes politiques, la souveraineté nationale, les droits et libertés, ainsi que les réformes et organisations de l’État.
Dans un même élan, la Commission Économie s’est divisée en quatre sous-commissions pour aborder des thématiques telles que l’économie et les finances, les infrastructures publiques, l’emploi, ainsi que l’agriculture et l’environnement. De son côté, la Commission sociale a mis en place trois sous-commissions, chacune traitant des enjeux de la formation, du bien-être social, et du patrimoine culturel, des valeurs, de la jeunesse, des loisirs et des sports.
Sous l’œil attentif du bureau du Dialogue National Inclusif, les participants ont entamé des échanges constructifs, témoignant d’une volonté commune de travailler ensemble pour trouver des solutions aux défis majeurs du pays. La visite des ateliers, en présence de la presse accréditée, a confirmé le sérieux et l’engagement des intervenants dans ce processus d’échange et de réflexion.
Ces discussions en commission et sous-commission offrent une plateforme précieuse pour débattre des problématiques abordées lors de la Grande Assemblée Plénière, et s’inscrivent comme une étape significative vers la construction d’un avenir plus favorable pour tous les citoyens du pays.
Le Dialogue National Inclusif se profile comme un espace de dialogue et de collaboration essentiel pour relever les défis actuels et tracer un chemin vers un avenir meilleur pour tous.
Le fils du bled
