Le Dialogue National Inclusif a été le théâtre de plusieurs scandales hier, lundi 8 Avril, le plus marquant étant celui mettant en lumière le comportement inacceptable de Suzanne Ova, magistrate chargée du protocole. Celle-ci a attiré les critiques des participants et de la presse en raison de son attitude arrogante et méprisante.
Des journalistes, attendant patiemment leurs badges, ont été brutalement éconduits par la magistrate, qui leur a ordonné de quitter les lieux sans ménagement. « La presse fait quoi ici, sortez » a-t-elle lancé, a révélé le journal en ligne Lessor. Un tel mépris pour le rôle crucial des médias dans la couverture d’un événement de cette envergure témoigne d’un manque criant de professionnalisme et d’empathie.
Mais les dérives de la dame de fer ne s’arrêtent pas là ajoute le confrère ; son attitude condescendante envers les personnes âgées révèle le comportement d’un individu dépassé par les événements. En outre, sa gestion chaotique de la distribution de simples badges dénote une incompétence notoire mettant en danger le bon déroulement du Dialogue National Inclusif.
Il est donc vivement souhaitable que les organisateurs du Dialogue National Inclusif prennent les dispositions nécessaires pour éviter ce genre de spectacle déshonorant, car on constate trop d’erreurs dans l’organisation de cet événement. Celles-ci risquent d’entacher le bon déroulement de cet événement dont le rapport final est tant attendu par les Gabonais à cause d’une poignée de brebis galeuses au comportement répréhensible du pouvoir déchu.
En effet, il est essentiel que toute forme d’irrespect et d’incompétence soit éradiquée afin de garantir le succès et la crédibilité du Dialogue National Inclusif. Les acteurs impliqués doivent s’unir pour promouvoir des valeurs de respect, d’inclusion et de collaboration, essentielles à la réussite de cet événement d’importance capitale.
Le fils du bled
