Lors de la récente tournée de compte-rendu parlementaire qu’il a entrepris à l’intérieur de sa circonscription politique et électorale, l’honorable Jean-Baptiste Ndong Nzong, par ailleurs, Membre du bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG), a véritablement lancé un cri de cœur en faveur de l’unité des fils et filles du deuxième arrondissement de Ntoum.
Une tournée parlementaire qui avait été circonscrite pour des raisons d’application et du respect des mesures barrières portant sur la lutte contre la pandémie coronavirus édictés par le gouvernement de la République.
L’appel lancé aux siens par le locataire du palais Léon Mba s’inscrit dans la suite logique du discours du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, portant sur la culture de la concorde civile, la cohésion sociale et l’unité nationale afin de préserver mes valeurs du « vivre-ensemble » gabonais.
« Les divisions inutiles et vaines qui nous ont, malheureusement, caractérisées ces dernières années, n’ont que trop durer. Elles nous ont affaiblis », a précisé le parlementaire. Qui reste attaché aux valeurs patriotiques et républicaines.
Élu des élections législatives conjointes de 2018 avec un pourcentage de 54,48 %, Jean-Baptiste Ndong Nzong a d’ailleurs démontré que c’est par l’unité que le deuxième arrondissement de Ntoum a toujours été fort en remportant de grandes et éclatantes victoires pour le compte du parti au pouvoir. Car, a-t-il prévenu « malheur à l’homme seul » pour paraphraser le leader panafricaniste centrafricain, Barthélemy Boganda.
Le député Jean-Baptiste Ndong Nzong a exhorté les siens à faire preuve de résilience afin de privilégier le pardon et le rassemblement de tous, comme par le passé. Non sans avoir dénoncer les divisions, les intérêts personnels comme étant des outils de faiblesse. Contrairement à la cohésion et la solidarité qui sont des instruments de la ténacité et qui rendent fort pour un destin commun.
« C’est ensemble que nous serons heureux pour un mieux vivre et le « vivre-ensemble » recensés par tous. Reconstruisons chacun à son modeste niveau notre conduite, nos œuvres et par nos voix la chaîne de l’unité rompue. Comme l’avait rappelé le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, lors de son discours à la nation du 16 août 2021. Il faut que les gabonais se parlent ! J’appelle donc de tous mes vœux à une réconciliation véritable des cœurs et des esprits pour insuffler une dynamique de cohésion dans notre espace commun », a conclu l’honorable Jean-Baptiste Ndong Nzong.
Thierry Mocktar