En dépit d’une multitude de candidatures à la candidature, le Parti démocratique gabonais (PDG) – faisant preuve de maturité – est parvenu à concilier le mérite, l’expérience et l’engagement militant dans le choix de ses candidats aux prochaines élections législatives.
Dans cette course pour le renouvellement intégral de la prochaine Assemblée nationale, le parti au pouvoir a misé sur des hommes et femmes dont le leadership politique a fait suffisamment ses preuves sur le terrain. Au regard des critères clés qui ont prévalu dans le choix de certains candidats.
Notamment au 2ème siège de la Basse-Banio (Mayumba), au siège unique de la Haute-Banio (Ndindi) ainsi que du siège unique du 1er arrondissement de Tchibanga (Mougoutsi).
En effet, d’Angélique Ngoma à Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou en passant par Jean-Pierre Doukaga Kassa, ils auront cet honneur de représenter le parti au pouvoir dans leurs circonscriptions. « C’est là, la reconnaissance de leur militantisme acharné », soutiennent leurs sympathisants. Mais surtout des actions sociales posées en faveur du bien-être des populations dans ces contrées.
Et donc l’impact cadre parfaitement avec la politique de partage et de solidarité impulsée par le président de la République, Ali Bongo Ondimba en faveur de l’amélioration des conditions de vie des gabonais.
Il est à rappeler qu’Angélique Ngoma, Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou et Jean-Pierre Doukaga Kassa ont respectivement, en 2018, obtenus des scores de 66,28 %, 95,95 % et 67,70 %. Des résultats rendus publics à l’époque par le Centre gabonais des élections (CGE) et qui reflètent leur leadership dans ces localités respectives.
Thierry Mocktar