Ce matin du 11 mai 2024, une ambiance électrique régnait devant les portes des centres d’examens du concours de l’École Nationale d’Administration (ENA) à Libreville, alors que le concours d’entrée tant attendu devait débuter à 7h30. Cependant, le désarroi s’est emparé de près de 500 candidats qui ont eu la surprise de découvrir qu’ils ne figuraient pas sur les listes d’accès aux salles d’examen.
Dans la cour du lycée d’État, principal centre d’examen, les aspirants fonctionnaires exclus dénoncent un manque criant d’organisation et de transparence. « Des semaines de préparation pour ce concours, et voilà comment nous sommes traités », s’indigne un candidat, la frustration se lisant sur son visage.
Au C.E.S Mandela, la situation est tout aussi préoccupante, les noms des candidats n’ayant toujours pas été affichés. Ce retard et cette incertitude ont engendré une montée d’inquiétude et de colère parmi les candidats, se sentant abandonnés par un processus qu’ils attendaient avec impatience.
Les réactions émotionnelles des candidats face à cette exclusion sont légitimes, et il est essentiel que des mesures correctives soient prises rapidement pour rétablir la confiance et l’équité dans le processus de sélection des futurs fonctionnaires.
Les autorités compétentes doivent agir avec transparence et diligence pour résoudre cette situation et garantir que de telles erreurs ne se reproduisent plus à l’avenir. Les aspirants fonctionnaires méritent un processus d’examen juste, transparent et bien organisé pour assurer l’égalité des chances pour tous les candidats.
À l’heure où nous écrivons ces lignes, aucune communication n’a été effectuée par l’administration concernée. Nous y reviendrons !
Judex
Franchement c’est vraiment un désordre totale , comment pouvez-vous faire ça aux enfants des autres?Depuis en semaine les candidats attendaient les listes définitives et dans des centre de composition les nons ne figure même pas aaaaah le ctri on croyait vraiment a un changement mais élasse.