Suite à la pause pour la célébration de l’Aïd el-Kébir, les travaux en commissions et sous-commissions ont repris avec enthousiasme ce jeudi 11 avril 2024 au stade de l’Amitié dans la commune d’Akanda, au nord de Libreville, où se tient le dialogue national inclusif.
Le bureau du département national de l’investigation a présenté aux responsables des diverses commissions le format des rapports de synthèse retenus, marquant ainsi un nouveau départ pour ces discussions cruciales pour le pays. Un des points majeurs abordés lors de ces séances de travail était celui de l’emploi, jugé comme un facteur essentiel pour le développement continu du Gabon.
L’atelier dédié à ce sujet a mis l’accent sur des thématiques telles que l’auto-emploi, l’accès à l’emploi, la réinsertion professionnelle, ainsi que la protection sociale des travailleurs, et les mécanismes permettant aux jeunes d’accéder rapidement à des opportunités d’emploi. De plus, les débats ont porté sur le point d’indice et d’autres sujets connexes.
Dans la sous-commission traitant de l’emploi, les discussions ont notamment porté sur les modifications à apporter au code du travail afin de répondre aux besoins des citoyens gabonais. Des sujets sensibles tels que les conventions collectives, l’emploi des personnes en situation de handicap, et le recrutement de main-d’œuvre étrangère ont été examinés en profondeur.
De son côté, la sous-commission infrastructures s’est attardée sur des problématiques telles que la localisation de l’aéroport de Libreville et sa capacité réduite. Des réflexions ont également été entamées concernant la navigation fluviale et lagunaire, soulignant l’importance des infrastructures pour le développement global du pays. Ces échanges traduisent l’engagement des différents acteurs à travailler ensemble pour le progrès économique et social du Gabon.
Le fils du bled
