Après Libreville, la deuxième phase de la campagne de sensibilisation de lutte contre les violences basées sur le genre s’est déroulée dernièrement à Booué, Ndjolé et Lastourville. Cette étape a été conduite par les expertes de l’ODEFPA, dont Dames Essono Aimée Félicité, psychologue qui a défini le genre, la violence et les différents aspects. Nsa Mbenghah Christine, juriste qui s’est appesanti sur l’aspect juridique, Akerey née Souah Angha Sandrine se pencher sur les différentes prises en charge.
La société d’exploitation du Transgabonais « SETRAG » se dote des outils pour lutter contre les violences basées sur le genre, et ce, dans la mise en œuvre de son partenariat signé le 27 mai 2020 avec l’Organisation de Défense de la Femme et de Parité (ODEFPA), pour se faire l’entreprise a lancé une vaste campagne de sensibilisation.
Mise en œuvre par l’ODEFPA son partenaire technique, cette deuxième phase après Libreville a concerné les autorités locales, notamment les maires, présidents des conseils départementaux, préfets, chefferie, les communautés culturelles, les riverains et enfin les agents Setrag en service dans ces différentes gares.
L’objectif de cette campagne de sensibilisation qui a débuté le 14 juin 2022 par la gare de Booué et s’est poursuivie les 17 et 24 à Ndjolé et Lastourville avait pour objectif d’édifier les uns et les autres sur les différentes formes de VBG, informer sur la nécessité de les dénoncer et de sensibiliser sur les mécanismes de prise en charge existants mis en place par l’État gabonais.
Mais aussi présenter les différentes formes de violences à l’encontre des femmes et particulièrement celles basées sur le genre, leurs conséquences, l’ampleur du phénomène, les mythes et stéréotypes relatifs à la violence sexiste dans notre pays.
Avec SETRAG
