Depuis l’AVC (Accident vasculaire cérébral) contracté, il y’a trois ans, par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, le Gabon vit quotidiennement à un rythme infernal de la spéculation politique. Dont la sempiternelle question « la vacance ou succession » demeure accrochée au centre des débats.
Des rumeurs régulièrement entretenu par les principaux adversaires politiques au régime en place. Des spéculations qui relèvent bien évidemment d’une stratégie de l’intox. Malheureusement fondées sur des bases d’une affabulation mensongère. Qui devient depuis quelques temps le principal programme politique au goût d’une opposition gabonaise irresponsable et ses affidées mécaniques.
Qui apprécient mal le retour ragaillardi et plus que jamais déterminant, engagé et endurant du Président de la République au-devant de la scène politique nationale et internationale, après une longue absence pour des raisons de convalescence maladie dont la période « disponibilité temporaire » des charges présidentielles au sommet de l’Etat, a permis à la Cour Constitutionnelle Constitutionnelle gardienne des lois, portée par sa Présidente, Marie-Madeleine Mborantsuo de préserver la stabilité institutionnelle du pays et de veiller au bon fonctionnement de l’action publique.
L’embastillement de l’opposition par le pouvoir en place, à quelques deux années de la tenue des élections présidentielles, est la traduction de la perte de boussole par un ensemble qui, visiblement, ne dispose plus de repaire pour convaincre l’opinion par ses allégations de velléités d’un projet de « succession dynastique » au Gabon. Et dont la presse et les médias acquis à la cause d’une opposition de farandole à la manière de pies engoncés se complaisent au relais sur la place publique ou dans différents canaux et réseaux sociaux, des informations erronées ou mal maîtrisées par le manque de maîtrise de l’ordre constitutionnel d’un État de droit.
Aux dernières nouvelles, l’opposition complètement déboussolée pourrait envisagée l’hypothèse d’un boycott du scrutin présidentiel. A moins d’opérer des rétropédalages vers la maison-mère. Tous ces acteurs, majoritairement, d’anciennes éminences grises du pouvoir du défunt Président Omar Bongo Ondimba et proches d’Ali Bongo Ondimba, pour certains, jusqu’en 2015 avec la création de micro-partis politiques sur des bases familiales, ont malheureusement connu des fortunes politiques catastrophiques au sein de l’opposition et des parcours déroutant.
Dès lors, le Gabon est résolument tourner et s’affirmer vers une démocratie participative avec l’implication de ceux qui ont à cœur de soutenir le développement du pays. L’avènement de Noureddin Bongo Valentin au cœur de l’action politique du pouvoir en place a considérablement désarçonné l’existence d’une opposition tournée vers des stratégies de la désinformation.
En effet, au même titre que les jeunes de sa génération, le Coordinateur général des affaires présidentielles est constamment à la recherche de l’efficacité pour changer une manière de faire positivement et rapidement dans la vision progressiste impulsée par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba. Sensible au bon fonctionnement de tous les secteurs d’activités, dont celui très promoteur de la formation, qui est déterminante pour un monde en devenir, la génération actuelle ne devrait en rien compromettre l’avenir du pays, dont elle sera demain le garant de la gouvernance.
Thierry Mocktar