Depuis quelques jours, Marie Madeleine Mborantsuo, fait de nouveau l’objet et cible d’attaques démentielles, à travers de prétendues accusations d’enrichissement illicite et blanchiment d’argent, fortement relayés par des médias à sensation sur le plan local.
Selon des allégations d’un rapport d’investigation publié, le 23 novembre dernier, ndlr, par une prétendue Organisez Crime and Corruption Reporting Projet (OCCRP), ces accusations malveillantes font état de ce que la Présidente de la Cour Constitutionnelle du Gabon et certains membres de sa famille sont détenteurs d’importants biens immobiliers aux Etats-Unis.
« Des biens acquis par la force de sa fonction qui lui permet de bénéficier d’un certain nombre de privilèges », déclare un enseignant d’université à l’OCCRP, relate le rapport, qui n’apporte malheureusement pas de preuves de malversations ni de corruption. Encore moins le nom de l’enseignant à l’origine de ce rapport.
Tout porte ainsi à croire que tout ceci est fait à dessein pour nuire, une fois de plus, à Marie Madeleine Mborantsuo et aux siens. Dans la mesure où le rapport d’investigation en question publié par « l’organisation (?) » sur le prétendu enrichissement illicite et blanchiment d’argent incriminés, à tort évidemment, à Marie Madeleine Mborantsuo vise des objectifs inavoués de la part de leur commanditaire.
On observe tout de même que ces attaques sur la personne de Marie Madeleine Mborantsuo et certains membres de sa famille surgissent au moment où l’on approche généralement des scrutins électoraux au Gabon.
Une occasion propice choisie par certains individus malintentionnés pour divertir l’opinion en ciblant des personnalités proches du pouvoir ou intervenant dans l’ordre protocolaire de l’État, à l’exemple de la Présidente de la Cour Constitutionnelle. Notons que les prochaines élections politiques (présidentielle, législative, locale) auront lieu en 2023.
Par Thierry Mocktar
