En politique, s’il est une qualité difficilement imputée à ses praticiens, à l’unanimité, la loyauté tiendrait le sommet de la pyramide.
Dans le microcosme politique gabonais, qu’il s’agisse de la majorité comme de l’opposition, au gré des intérêts multiformes, les retournements de vestes sont légions. Au sein du Parti démocratique gabonais, parti au Pouvoir, les transfuges se comptent à la pelle.
Parallèlement, quelques personnalités (elles représentent désormais une infime minorité et c’est tout à leur honneur), constituent d’une part des piliers majeurs pour la stratégie du parti en période électorale et la traduction concrète sur le terrain et auprès des populations, de la politique du chef de l’Etat.
Dans ce registre, les Mboumbou Miyakou ont à ce jour affiché une loyauté inépuisée. Du père au fils, et ce, contrairement aux supputations fort maladroites du journal Médiaposte dans sa publication du 13 novembre courant, la loyauté est demeuré la même.
Les Mboumbou Miyakou sont connus dans leur localité pour être très modestes, sans histoires, plutôt disponibles et favorables aux sollicitations de leurs compatriotes, en plus d’être des pulsateurs du développement dans la province de la Nyanga.
Cette famille n’a de cesse d’œuvrer et ce sans répit, à l’amélioration des conditions de vie des populations, par l’érection de structures référentielles.
En exemples, mairie et assemblée départementale. Centre médical et bien d’autres structures administratives.
Des réalisations qui font dire à l’unanimité que les Mboumbou Miyakou sont à plus d’un égard de parfaits relais et traducteurs fidèles de la politique du chef de l’Etat, de même que celle de leur formation politique.
A Ndindi, dans le sud du pays, cette famille est aussi connue pour sa capacité de mobilisation en faveur du parti de masse.
Tous les scrutins présidentiels, depuis 1993 à la toute récente en 2016, les résultats sont on ne peut plus éloquents.
Ces seuls éléments constituent des preuves irréfutables de l’excellent leadership des Mboumbou Miyakou dans la Haute-Banio, leur bastion politique.
Des preuves que s’acharnent pourtant à décrédibiliser, par voie de presse, quelques aigris au parcours évanescent et insipide.
A l’exemple des Mboumbou Miyakou, quelques personnalités dont l’attachement à la première formation politique du Gabon peuvent être citées.
Le général Firmin Idriss Ngari à Ngouoni, Jean Massima à Koulamoutou, le général Flavien Nzengue Nzoundou à Lébamba ou Marcel Doupambi Matoka à Fougamou, constituent la minorité parmi tant d’autres de ceux dont la loyauté au PDG peut être prise en référence.
Les élucubrations et autres historiettes malhabiles citées dans des journaux à la solde de personnalités aigris et haineuses ne sauraient, au vue de ce qui précède, prospérer outre mesure.
La province de la Nyanga est une et indivisible. Aucune manigance politicienne ne saurait désunir les fils et les filles de cette admirable partie du Gabon.
Jules Nzemba Nzemba, natif des trois Louetsi
Président Directeur General de l’Agence Gabonaise des Services et des Investissements (AGSI)
