La situation alarmante qui se déroule dans le département de Ndolou, au sein de la province de la Ngounié, suscite une profonde inquiétude quant à l’impact écologique. L’entreprise pétrolière Addax Petroleum oil and gas Gabon (APOGG) semble être responsable d’une fuite persistante sur l’un de ses pipelines, entraînant ainsi des déversements de produits toxiques dans l’environnement.
D’après les informations relayées par le réputé blogueur Pierre Péan du sud, les dirigeants de cette entreprise refusent fermement d’engager les réparations nécessaires sur cette canalisation défectueuse. Les motivations derrière cette attitude laissent entrevoir une négligence regrettable de la part d’Addax.
Il semblerait que les responsables de la société préfèrent maintenir la continuité du transport de leurs produits, optant bien malheureusement pour l’épandage superficiel de latérite plutôt que d’interrompre temporairement le flux pour procéder à une réparation prompte. Cette conduite des affaires est des plus préoccupantes, car elle met en péril les écosystèmes avoisinants, en particulier ces modestes ruisseaux affluent du lac Niembé, reliant ainsi les majestueux fleuves Doubanga et Dourembou.
Cette situation impacte directement les populations locales, et plus spécifiquement les habitants du village Omengo. Suite à la contamination de leurs ressources hydriques, ces populations se trouvent privées d’un approvisionnement adéquat en eau potable pour répondre à leurs besoins domestiques. Il est donc impératif que les autorités compétentes prennent enfin la mesure de leurs responsabilités et œuvrent sans délai à trouver une solution définitive à cette problématique récurrente associée à la société Addax Petroleum oil and gas Gabon (APOGG) dans cette partie du pays.
Le fils du bled
Pour ma part, que ce soit en droit International comme en Droit interne.
Il faut passer à un droit souple au droit rigide en matière environnementale.
Trop de souplesse avec les principe tel que le principe de pollueur payeur et surtout la transaction accordée pour ces dommages écologiques.
Il s’agit là des principes et mécanismes favorisant la délinquance de nos entreprises et qui leurs sont bénéfique au détriment des Etats et des populations.
Il suffit d’aller à mounana aujourd’hui.suivez mon regard.
Oui pour le développement économiques mais réfléchissons à un développement sobre et inclusive.
Et sincèrement pour y arriver nous n’avons pas besoin d’aide extérieure. Juste une question de volonté politique.