Des entretiens hautement confidentiels ont eu lieu à Paris en marge du Sommet de la Francophonie, où Brice Clotaire Oligui Nguema a eu des échanges avec Alassane Ouattara. Au cœur de ces discussions se trouvaient l’article 53 de la nouvelle constitution gabonaise ainsi que le sort de Sylvia Bongo, et de son fils Noureddin Bongo Valentin.
Selon Africa Intelligence, Brice Clotaire Oligui Nguema aurait exprimé son soutien à une éventuelle libération « à moyen terme » de Sylvia Bongo et de son fils lors d’une rencontre confidentielle avec Alassane Ouattara avant le sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Les discussions menées par le président gabonais laissent transparaître une volonté de réexaminer la situation de Sylvia Bongo et de son fils Noureddin Bongo Valentin dans un futur proche, suggérant des possibles évolutions significatives.
L’importance de ces échanges diplomatiques et des sujets abordés illustre les enjeux complexes entourant l’avenir de ces personnalités politiques, et souligne l’impact potentiel que de telles décisions pourraient avoir sur la scène nationale et internationale.
Le fils du bled