Comme annoncé par le chef de l’État Ali Bongo Ondimba, lors de la Concertation politique de la classe politique – dont les travaux ont porté sur la transparence, l’uniformisation et la crédibilité des élections politiques au Gabon – la capitale gabonaise abrite, à partir de ce Mercredi 12 avril 2années 23, les Grandes Assises Nationales sur la vie chère.
Sujet de plus en plus préoccupant pour les Autorités gabonaises, en tête desquelles, le Président de la République, au regard des difficultés rencontrées par les populations face à la hausse vertigineuse des prix dans l’ensemble des segments de la vie quotidienne.
Alimentation, transports, services… Accolé en cela au sempiternel problème du conflit homme-faune en ce qui concerne les populations rurales. Malgré la publication, il y a quelques temps, par le Ministère en charge de l’économie, d’une mercuriale visant à arrêter dans son développement l’inflation « phénoménale », de plus en plus récurrente.
Ces Assises nationales de Libreville interviennent dans contexte particulier, à la suite de l’organisation de plusieurs concertations provinciales à travers le pays afin de permettre à l’ensemble des forces vives d’être écouté, d’être attendu et de s’exprimer avait précisé le chef de l’État initiateur du débat national sur la vie chère.
Les participants devront formuler à l’issue des travaux des recommandations fortes qui seront proposer aux gouvernants pour une meilleure prise en compte des politiques publiques sur question.
Thierry Mocktar