Au quartier Angondjé dans le 2e arrondissement de la commune d’Akanda, le bâtiment en construction à l’abandon du centre international des civilisations bantoues n’est plus qu’un simple refuge de squatters, mais également un lieu où circule, drogue, bandits, trafiquants d’esclaves, etc. Une organisation qui aurait à sa tête un Burkinabé.
Lancé il y a plus de 30 ans dans le but de promouvoir le patrimoine culturel des peuples africains au sud de l’Equateur, le Centre international des civilisations bantoues (CICIBA), situé dans le 2e arrondissement de la commune d’Akanda n’a jamais été concrétisé malgré les millions de francs CFA engloutis pour la réalisation de ce projet.
Aujourd’hui, les ruines de cet immense chantier à l’abandon, un vaste labyrinthe de plusieurs niveaux, devient un refuge de squatters, de bandits de grand chemin, le tout couronné par l’installation d’un réseau de passeurs d’immigrés clandestins venus d’Afrique de l’Ouest.
Est en circulation libre à cet endroit toutes les drogues dures. Serait à la tête de cette organisation mafieuse un Burkinabé qui dit-on serait intouchable parce qu’ayant les longs bras à tous les niveaux dans l’administration gabonaise.
Selon notre source, les magouilles de ce Burkinabé imbu de sa personne et qui se prendrait pour le très célèbre dealer de drogues Colombien Pablo Escobar, seraient connues des forces de police de la commune vraisemblablement muettes face à cette situation.
Par Le fils du bled