En vue d’amener le gouvernement à trouver des solutions face à la fréquence des contrôles routiers excessifs de police, de gendarmerie et de la Direction générale de la sécurité routière (DGSR) dont sont victimes de racket journalier les conducteurs de taxis dans le « Grand Libreville », le Président de la Fédération syndicale gabonaise des transporteurs (FESYGAT) a récemment annoncer la menace d’entrer en grève de son mouvement dans les jours avenirs.
« On ne comprend pas que l’on reproche à nos adhérents de ne pas avoir des papiers, alors que ces derniers circulent tous les jours devant les mêmes agents », s’est interrogé Serges-Bertrand Bekalé, le président de la FESYGAT.
Le leader syndical a également indiqué que c’est cette situation préoccupante qui serait également l’une des conséquences de la flambée des coûts de transport observé dans le « Grand Libreville ».
Justin Anga Otounga