Lancé dans sa campagne, à l’occasion des élections présidentielles en cours, Ali Bongo Ondimba, le président de la République sortant, vient de s’engager dans un pacte de solidarité visant à répondre aux enjeux sociaux et économiques.
Dans l’élan de sa campagne, dans la province de l’Estuaire, Ali Bongo Ondimba poursuit dans la déclinaison de sa stratégie politique pour répondre aux besoins sociaux et économiques des Gabonais pour les cinq prochaines années du mandat présidentiel.
S’engageant dans un pacte de solidarité, le président de la République sortant voudrait s’illustrer, s’il est réélu, par l’accompagnement des Gabonais économiquement faibles par un programme de réinsertion, l’accroissement des avantages de la carte verte pour les personnes du 3e âge, la facilitation des départs à la retraite à 65 ans, la gratuité des transports et la lutte contre la vie chère à travers le plafonnement des prix de produits de première nécessité.
Si ces questions concourent à l’émancipation socio-économique des populations, il faut dire qu’elle trouve leur intérêt dans le fait.
En effet plus que jamais, la prise en charge des GEFs, à travers des programmes spécifiques, la considération des personnes du 3e âge dans une société qui se veut protectrice et la lutte contre la vie chère sont des questions courantes qui préoccupent le quotidien des gabonais. En agissant sur ces questions, Ali Bongo Ondimba montre sa volonté de placer les préoccupations sociales des gabonais au cœur de ses engagements. Ce qui caractérise sa volonté de veiller au bien-être de ces derniers.
Bien plus, le pacte de solidarité qu’Ali Bongo Ondimba propose est un nouveau programme qui se veut résilient et tourné vers l’avenir. Il arpente les défis du moment pour s’ériger comme une solution nécessaire pour l’avancement des principes fondateurs de l’équilibre social au Gabon. Ce, d’autant plus qu’il touche aux aspects les plus préoccupants et immédiats du quotidien.
A l’exemple de la question du coût de la vie dont la teneur comporte des externalités à l’international ou encore celle du transport qui, dans une moindre mesure, assouplit les dépenses des populations. C’est donc, à travers ce pacte, une nouvelle vision qui s’offre aux gabonais.
Le fils du bled
