Lors d’une réunion organisée le 07 août dernier par le ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, originaire de la Nyanga, Jonathan Ignoumba, des discussions ont eu lieu concernant l’utilisation de l’enveloppe de 7 milliards de francs CFA octroyée par le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, lors de sa tournée dans la province.
Cette réunion, qui a rassemblé les filles et les fils de la Nyanga, a mis en lumière l’importance de mettre en œuvre des projets structurants pour améliorer l’image et le développement de la province. Le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche a souligné la nécessité de privilégier des projets à impact social, tels que ceux liés à l’accès à l’eau, à la santé et à l’éducation.
Des orientations corroborées et soutenues par Herménégile Bussa Bussambe, DG de la programmation des investissements et des équipements à l’Éducation Nationale ; « Il est question de développer des projets qui ont déjà un impact sur les populations, à l’instar des projets relatifs à l’adduction d’eau, à la santé et à l’éducation », a-t-il fait savoir.
Ainsi, dans l’optique de garantir une gestion responsable des fonds alloués, le ministre Jonathan Ignoumba a préconisé la mise en place de comités de suivi et d’évaluation dans chaque département. Ces comités, composés de représentants locaux, auront pour mission de sélectionner les projets prioritaires, de valider les choix et de désigner les entreprises locales chargées de leur réalisation.
Il revient donc désormais aux délégués spéciaux, parlementaires, cadres et personnes ressources de chaque département de prendre les mesures nécessaires en convoquant des réunions pour mettre en œuvre les étapes de validation des projets.
La transparence, la responsabilité et l’efficacité seront les maîtres mots pour assurer le succès des projets financés par cette enveloppe de 7 milliards de francs FCFA octroyée par le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, et garantir le développement de la Nyanga considérée à ce jour, à tort ou à raison par beaucoup d’observateurs, comme la moins développée du pays.
Denise