En séjour dans la province de la Nyanga – dans le sud du Gabon – le Haut-commissaire de la République, Michel Essonghé a été accueilli dans une véritable ferveur populaire par les populations du département de la Haute Banio.
Qui avaient à leur tête, le député de Ndindi, l’ancien Ministre d’État, Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou. Qui, personnellement, a tenu à être présent à ces grands moments. La localité de Ndindi est le parfait exemple dans la Nyanga du faire ensemble. Une référence d’harmonie politique pour le « vivre-ensemble » prôné par le Président de la République Ali Bongo Ondimba.
Les populations l’ont parfaitement exprimé, une fois de plus, en se rangeant massivement derrière leur leader politique et représentant au palais Léon Mba. Le séjour de la délégation du Haut-commissariat de la République a, à cet effet, pris des allures de ferveur populaire à travers la chaude ambiance entretenue par les rythmes du terroir.
Dans ses propos à l’endroit de l’émissaire du président de la République, l’honorable Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou a reconnu les efforts consentis par le gouvernement sous l’impulsion du chef de l’État en faveur du bien-être des populations et pour le développement de sa circonscription. Tout en égrenant les attentes pressantes du moment. Notamment : la route, l’éducation, la santé, l’eau et l’électricité, le conflit homme-faune…
« Les populations de la Haute Banio ne changeront pas de cap. Elles sont des « soldats » pour le Président de la République Ali Bongo Ondimba. Elles le demeurerons », a rassuré Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou. Un attachement et fidélité reconnu par Michel Essonghé des populations de Ndindi à l’égard du Président de la République. Qui en retour ne les quitte pas du regard.
« Nous sommes un organe de suivi et d’évaluation de l’action publique, c’est-à-dire à dire, les yeux et les oreilles du chef de l’État. Ainsi nous menons des missions d’écoute et de proximité, pour lui apporter des informations d’aide pour des décisions adaptées », a précisé Michel Essonghé.
Qui a pris bonne note des doléances formulées, dont le chef de l’État ne retiendra que les priorités afin quelles soient résolus progressivement.
Thierry Mocktar (sources Olivier Baak)
