« La culture des résultats et l’accélération des engagements pris auprès des populations », est l’objectif que s’est assigné Noureddin Bongo Valentin, depuis sa prise de fonction ai palais présidentiel de Libreville. Une nomination qui, depuis un an, et à quelques mois de la tenue des élections présidentielles de 2023, continue d’envenimer les débats dans certains milieux politiques du pays.
Des débats stériles de conviction, estiment de nombreux gabonais pour qui, le débat serait ailleurs. Quand on observe la qualité des « censeurs ». Qui se trouvent être des personnes parfois ayant eu attache avec le pouvoir ou avoir été proche de celui-ci. En fait, selon la pression populaire, d’aucuns tendent à nuire au choix du chef de l’État d’avoir promu son fils aîné à la prestigieuse et très convoitée fonction de Coordinateur général des affaires présidentielles (CGAP).
Ce que réfutent certaines sources proches du palais présidentiel de Libreville. Pour qui le débat n’est pas à l’ordre du jour. D’aucuns dans l’esprit de malveillance, n’hésitent pas à affubler le « missi dominici » d’Ali Bongo Ondimba de velléités présidentielles au prochain scrutin. Par contre, dès sa prise de fonction au palais du bord de mer, Noureddin Bongo Valentin, a tout de suite fait instaurer un élan de solidarité afin que l’ensemble des gabonais bénéficient des retombées économiques du pays. Lors de la lutte contre la pandémie du coronavirus, Noureddin Bongo Valentin, a largement œuvré pour que ces compatriotes, aux quatre coins du pays, bénéficient de l’aide à la solidarité alimentaire lancée par le président de la République, Ali Bongo Ondimba.
Pour marquer le coup et soucieux des difficultés rencontrées par les populations lors de cette période de confinement sanitaire, Noureddin Bongo Valentin a mis à la disposition de l’ensemble des députés gabonais un important don alimentaire : riz, huile, savon, poisson et sucre. Autre marque particulière est l’attention que porte le Coordinateur général des affaires présidentielles envers les centres d’accueils pour enfants, les orphelinats et les structures sanitaires du pays afin de prendre le pouls de leur fonctionnement, et un fine, toucher du doigt la réalité vécue au sein de ses entités pour les mettre en phase avec les réformes initiées par le chef de l’État, en vue d’y apporter des améliorations nécessaires.
L’épreuve de la jeunesse c’est aussi cette vocation de Noureddin Bongo Valentin de se saisir et s’assurer du suivi des dossiers qui lui sont confiés par le chef de l’Etat. Grands travaux, santé, éducation, diversification de l’économie, social, assainissement des finances publiques… La prise en main par la présidence de la République, de la task force sur le règlement de la dette intérieure de l’État a fait apparaître des malversations et de la surfacturation par certaines entreprises ayant voulu spolier l’État avec la complicité de certains cadres, hauts responsables administratifs, et même des membres du gouvernement avaient indiqué des sources proches du dossier.
Cette task force a fait rejeter deux tiers des sommes réclamées au Gabon, considérés comme fictives, soit plus de 400 milliards de francs cfa (671 millions d’euros). Malencontreusement indexé et sans tenir compte des attaques malveillantes orchestrées par ses détracteurs, dont d’anciens privilégiés ayant perdus leurs avantages d’antan indûment perçus des années durant, les ambitions de Noureddin Bongo Valentin restent la concentration sur les missions que lui a confier le chef de l’État : être à l’écoute des Gabonais et s’assurer au quotidien de l’état d’avancement du processus de l’accélération et de la transformation économique et sociale du pays.
Par : Thierry Mocktar