Il y a de cela quelques jours qu’un étudiant est décédé après une opération au CHRE de Mouila par manque de reactifs dans la structure hospitalière, une situation qui a attiré le gourou des parents du défunt.
Georges Moundemba étudiant gabonais, la vingtaine révolue, habitant le quartier Tsouka dans le 1er arrondissement de Mouila dans la Ngounié est décédé dernièrement au Centre Hospitalier Régional de Mouila (CHREM) suite au manque de réactif dans cet établissement hospitalier.
En effet, c’est au sortir d’une opération que le problème va surgir sachant qu’une transfusion sanguine doit être faite au patient mais hélas, dans cette structure hospitalière il se pose un gros problème, le manque criant de réactifs. C’est donc après une très longue attente que le jeune homme finira par passer de vie à trépas sous le regard impuissant du corps médical.
« Au laboratoire, on nous a fait comprendre que l’hôpital n’avait pas de réactifs », a déclaré un membre de la famille du défunt.
Entre colère et incompréhension
Selon notre source, dans une colère noire au regard de la situation la famille du défunt va tout d’abord refuser de prendre la dépouille avant de la transportée au final quelques heures plus tard dans une maison de pompe funèbre de Mouila.
Alors nous nous interrogeons, comment comprendre que dans un si grand centre hospitalier il puisse manquer de réactifs ? Une question qui vaut son pesant d’or. Au vu de la gravité des faits l’on peut sans risque de se tromper affirmer que la population de cette localité du pays est en danger.
Le fils du bled