Au Gabon, une situation troublante intrigue les citoyens et pose des questions sur la gestion des biens immobiliers de l’État. En effet, il semblerait que l’État gabonais soit locataire de son propre territoire, une réalité difficile à comprendre. Selon des informations récentes, cette situation aurait été intentionnellement créée et maintenue par d’anciens dirigeants avides de pouvoir, qui souhaitaient s’enrichir en louant leurs propres bâtiments à l’État.
Cette curieuse situation a été révélée lors d’une visite de terrain du ministre du Tourisme, M. Pascal Ngowet, le 24 octobre 2023. Outre le constat que certains hôtels appartenant à l’État sont maintenant des biens privés, il a exprimé son étonnement de découvrir que l’État gabonais se trouve véritablement en situation de locataire sur son propre sol.
Les chiffres sont édifiants. Les charges locatives des baux administratifs de l’État sont passées de 22 milliards de francs CFA en 2021 à 40 milliards de francs CFA en 2022, soit une augmentation fulgurante de 18 milliards en l’espace d’un an seulement. Cette hausse des frais de location aurait des conséquences financières considérables pour l’État gabonais.
Face à cette situation inquiétante, des voix s’élèvent pour demander une enquête approfondie. Il est primordial que l’État gabonais puisse identifier les propriétaires bailleurs et comprendre les circonstances dans lesquelles ils ont acquis ces propriétés mises en location à l’État. Un recensement rigoureux des biens immobiliers devrait être diligenté prochainement afin de rétablir la transparence et de permettre à l’État de reprendre le contrôle de ses propres biens.
La révélation de cette situation inédite a semé le doute dans l’esprit des Gabonais. L’article invite donc les autorités à prendre les mesures nécessaires pour clarifier cette affaire afin de garantir une utilisation judicieuse des ressources publiques. Le temps est venu pour le Gabon de retrouver la pleine souveraineté sur son territoire et de récupérer les biens qui devraient légitimement lui appartenir.
Sofia
Le cas de la Caistab, les affaires étrangères
C’est triste hein! Vraiment 😭😭 ! Bientôt on dira que le sol sur lequel on marche et même nous même Gabonais avons été vendu ! Vraiment triste de constater comment nos dirigeants ont vendu le pays pour leur bien être ! Heureusement que les bontés de l’Éternel ne sont pas à leur fin pour le Gabon, il parachevra l’œuvre qu’il a commencé pour le Gabon… Sagesse, discernement et intelligence à tous les membres du CTRI.