Les travaux du Dialogue national inclusif qui se sont tenus à Angondjé ont pris fin sur une note d’espoir hier samedi 27 avril 2024, laissant entrevoir un avenir prometteur pour le Gabon.
Les responsables des différentes commissions économie, sociale et politique ont présenté les résultats de leurs réflexions, mettant en avant la nécessité d’une refonte profonde pour instaurer une gouvernance plus efficace et inclusive.
Dans le domaine politique, des propositions radicales ont été avancées, telles que la suspension du Parti démocratique gabonais (PDG) et de ses alliés, ainsi que l’inéligibilité pour trois ans des principaux responsables politiques issus du pouvoir déchu. Sur le plan économique, l’accent a été mis sur l’amélioration de la qualité de vie des citoyens et le transfert de la mainmise de l’économie aux Gabonais.
Le président du bureau du Dialogue national inclusif, Mgr Jean-Patrick Iba-Ba, a souligné que « l’objectif de ces assises était de réformer les institutions pour une gouvernance efficace, de définir une vision commune pour l’avenir du Gabon, et de trouver des solutions durables aux défis sociaux et économiques du pays ».
Sous la direction du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI), présidé par le chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema, ce Dialogue national inclusif marque un tournant dans l’histoire du Gabon. Il est porteur d’espoir pour une transformation en profondeur du pays, ouvrant la voie à un Gabon nouveau, plus inclusif et prospère pour tous ses citoyens.
Le fis du bled