« Combler le vide juridique qui persiste depuis l’indépendance du Gabon », telle est la quintessence du passage, Jeudi 16 mai 2022, au palais Omar Bongo Ondimba, du ministre d’État en charge de l’intérieur, Lambert-Noel Matha.
Le membre du gouvernement est allé apporter les éclaircissements nécessaires pour taire les équivoques et les interprétations suscitées par le projet de loi portant sur le choix de la commune d’Akanda comme chef chef-lieu de la province de l’Estuaire.
Un exercice de pédagogie tout de même difficile devant les Sénateurs pour Lambert-Noel Matha au regard de la charge de questionnement autour du projet de gouvernement pris en application des dispositions des articles 3 et 9 de la loi organique n° 014/96 du 15 avril 1996.
En effet, les nombreuses interprétations hâtives ont ébranlé l’opinion nationale au sujet d’un projet de loi adopté, il y a deux mois, en Conseil des ministres.
Alors que la ville d’Akanda n’a, à peine, que dix années d’existence. Des incompréhensions qui sont loin d’être dissipé malgré les éclairages du membre du gouvernement.
Thierry Mocktar
