Un couple chrétien de l’église de l’alliance chrétienne et missionnaire d’Avéa 2, en provenance de Libreville, composé de Roger Nzamba Mavioga, ancien à l’église d’Avéa 2, par ailleurs inspecteur principal de l’éducation nationale, désormais sorti du circuit actif (retraité) et Suzette Nzamba Mavioga, diaconesses à Avéa 2 a séjourné à Lambaréné pour débattre de la question « comment avoir un foyer solide et stable » .
But de cette présence : animer un séminaire des couples chrétiens organisé par le mouvement des hommes de l’église de l’alliance chrétienne d’Isaac, dirigé par Hugues Botinana (coordinateur), Hervé Mbadinga (secrétaire général), Éric Mboumba (trésorier), Félix Dikongo (trésorier adjoint), Boussougou Moussavou (conseiller 1), Arly Paul Mouloungui (conseiller 2) et Bernard Mombo (conseiller 3), dans le but de l’intérêt d’un foyer solide et stable.
Ledit séminaire s’est déroulé le 02 avril dernier aux sirènes, une structure hôtelière de la place dans le 2ème arrondissement de la ville du grand Blanc. En présence du révérend pasteur Simon André Mbadinga, surintendant du Moyen-Ogooué et de 24 couples issus de ladite congrégation sur 34 couples invités.
En effet, l’objectif poursuivi par ce séminaire, est de prévenir les risques d’instabilité, de menaces de foyers, notamment des foyers chrétiens. Car il ne passe un jour sans que l’on enregistre les divorces. Malheureusement, en milieux chrétiens également. «Nous venons de passer au peigne fin des écritures qui parlent du mariage. En parcourant lesdites écritures, nous nous sommes rendus compte que Dieu nous enseigne à pouvoir tenir le bon bout, pour ne pas arriver à des ruptures parfois évitables », a déclaré l’orateur.
Le patron de l’EACMG dans le Moyen-Ogooué, Simon André Mbadinga, quant à lui, a expliqué que l’organisation de ce séminaire vient répondre à un besoin qui rentre dans la recherche de l’équilibre dans la société. Sans dire que l’équilibre d’une société passe par celui du foyer. « La Bible nous appelle à former des foyers où l’homme et la femme vivent véritablement l’unité », a-t-il conclu.
Newman
