L’entrepreneuriat devient de plus en une réalité dans notre pays, initié en 2009 à Port-Gentil par Merfunt Kassa Kombila, SUPMANAGEMENT, qui devient aujourd’hui une université panafricaine des sciences, rayonne depuis 2017 à Lambaréné.
L’université SUPMANAGEMENT contribue à la formation des jeunes dans le cadre de l’insertion et bien de la réinsertion, permet également aux diplômés du baccalauréat ou aux élèves justifiant d’un niveau terminal, de pouvoir poursuivre leurs études supérieures par les programmes de formations en BTS, DTS, DUT, Licence professionnelle et Master.
La session de soutenance de juillet 2022, organisée le 2 juillet dernier à l’enceinte de l’institut, situé dans les locaux de l’école Saint François Xavier B dans le 1er arrondissement de la commune de Lambaréné avait au départ 4 étudiantes, éducatrices préscolaires dont Milonda Olde (majore.) avec une moyenne de 16/20, suivie de Brelle Ngora Ivora (14/20) et enfin Marie Lucrèce Mbiangone ont soutenu leurs rapports de stage devant un jury composé de Sekoula Alexis, président du jury, par ailleurs inspecteur pédagogique, Ulrich Mbini, 1er membre du jury et Junior Maganga Maganga, 2ᵉ membre du jury.
En présence de Paterne N’dounda, le coordinateur général de ladite institution, Émile Nziengui, directeur des études, Vanessa Ateme, gestionnaire, etc.
« D’aucuns auraient pensé qu’il n’est pas possible de former à l’intérieur du pays. Hélas, SUPMANAGEMENT ou UPS vient de démontrer une fois de plus que la formation supérieure ou les centres de formations professionnelles reconnus par l’État sont bel et bien présents dans l’intérieur du pays et que ces structures œuvrent pour la formation des jeunes », a expliqué Merfunt Kassa Kombila, le fondateur de l’établissement avant de poursuivre en affirmant que « nombreux de ceux qui sont formés dans ses quatre campus notamment à Port-Gentil, Libreville, Mouila et Lambaréné sont le plus souvent recrutés par les quelques opérateurs économiques qui existent surplace ».
C’est donc une opportunité réelle qui devrait par la suite permettre aux uns et aux autres qui sont sceptiques que le tout n’est pas de se déporter vers Libreville. Où parfois les conditions de vie ne sont pas réunies. À savoir le sempiternel problème des grèves a l’UOB, l’insécurité grandissante, les effectifs pléthoriques qui ne permettent pas à tout le monde de s’épanouir.
Newman