C’est l’une des grandes surprises de la composition du nouveau gouvernement « Rose-Christiane Ossouka Raponda 2 » rendu public, le 8 mars 2022, Max-Samuel Oboumadjogo, y a fait son entrée en qualité de Ministre Délégué auprès du Ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique, du transfert de technologies, de la culture et des arts.
Une promotion qui donne de la vertu à un pan de l’exécutif du pays. Tant plus que nombreux sont les détracteurs du jeune membre du gouvernement qui ont toujours gardé une image figurée de son passage dans le milieu artistique du pays où il s’est dignement illustré par la qualité moralisatrice et interprétative de ses œuvres.
Oubliant que l’artiste qu’il était disposait également des qualités intrinsèques de par sa formation managériale qu’il lui sera désormais l’occasion de mettre en pratique afin d’impacter de manière significative, le quotidien des gabonais comme l’a instruit le dirigeant gabonais, Ali Bongo Ondimba, au gouvernement lors de la session du Conseil des ministres du Jeudi 10 mars 2022.
Originaire de la province du Haut Ogooué – département de Sébé-Brikolo – militant engagé du Parti démocratique gabonais (PDG), discret et travailleur acharné, Max-Samuel Oboumadjogo était jusqu’à sa nomination, Conseiller du Distingué Camarade Président.
Ancien pensionnaire de l’Institut africain des métiers (IAM), Max-Samuel Oboumadjogo, tel le maçon au pied du mur, est appelé à mettre en pratique son expérience pour faire face au défi de la jeunesse face aux enjeux de l’élection présidentielle de 2023.
Thierry Mocktar
