Lors d’une interview accordée au journal en ligne Leconfidentiel.net, Chrisos Longho, Directeur général de la Sucrerie Africaine du Gabon (SUCAF), a apporté des éclaircissements sur la pénurie persistante de sucre sur le marché, ainsi que sur la hausse des prix de ce produit lorsqu’il est disponible.
Cette situation suscite l’inquiétude des consommateurs locaux, qui se retrouvent perplexes face à cette réalité. Les raisons invoquées par le DG mettent en lumière les problèmes de transport et la spéculation pratiquée par certains commerçants.
Selon Chrisos Longho, « la pénurie de sucre est localisée, touchant principalement les régions en dehors de la zone de production du Haut-Ogooué. Cette situation est principalement due à un manque de moyens de transport pour acheminer le sucre à l’intérieur du pays et jusqu’à Libreville. Actuellement, la voie ferrée, utilisée pour le transport du sucre produit à Wole vers la capitale et d’autres régions, est suspendue. De plus, l’état dégradé de la route reliant Libreville à Franceville constitue un obstacle supplémentaire ».
Par ailleurs, la cherté du sucre sur le marché est attribuée à la spéculation pratiquée par certains commerçants. « Ces commerçants préfèrent retenir le produit afin d’en augmenter artificiellement le prix. Cette pratique spéculative échappe au contrôle de SUCAF, car la fixation du prix du sucre relève de la responsabilité de l’État ». Le DG souligne que SUCAF n’a pas la liberté de fixer le prix de son sucre, étant donné que cette tâche incombe aux autorités.
Ainsi, il revient à l’administration, en particulier à la Direction Générale de la Concurrence et de la Consommation (DGCC), de veiller à éviter de telles spéculations et à faire respecter le prix imposé par l’État. La pénurie et la cherté du sucre sur le marché gabonais constituent un problème complexe qui impacte les consommateurs locaux.
Les difficultés d’acheminement résultant de la suspension de la voie ferrée et de l’état dégradé des routes entre les zones de production et les centres de consommation sont des facteurs majeurs contribuant à cette situation. De plus, la spéculation pratiquée par certains commerçants aggrave encore davantage la rareté du sucre et conduit à une augmentation injustifiée de son prix.
Pierre Boutamba
Un chef de famille à autorité absolu de comment doit fonctionner sa maison sous la conduite de son épouse. Si un enfant commence à rentrer aux heures qu’il veut, soit il accepte de se recadrer dans les heures dictés par chef de famille soit il quitte la maison.
Le Gabon est une maison, par translation, le chef de famille est le président de la republique et la maman de la maison est le premier ministre alors si un commerçant se permet de fixer ses prix au détriment des prix fixés par le chef de famille, il faut le sanctionner sévèrement et publiquement pour que les autres commerçants ne soient pas tenté de le faire sinon votre pays (maison) deviendra la cours du roi pétau et votre autorité (président, 1er ministre et gouvernement) ne fera peur à aucun étranger qui pensera que chez vous au Gabon tout est permis en sachant que chez eux c’est pas possible parce qu’il y a un vrai chef de famille (président) et une maman dur (le 1er ministre) et des aînés (le gouvernement) qui ne permettent pas le désordre qui ait permis au Gabon par leurs differents chefs.
Merci à tous les chefs du Gabon de remettre de l’ordre dans la MAISON GABON et que le prix du sucre fixé par le chef de famille ne soit contesté par aucun commerçant sinon…
….ouvernement) ne fera peur à aucun étranger qui pensera que chez vous au Gabon tout est permis en sachant que chez eux….
Donc Ilya que des étrangers qui sont des commerçants au Gabon ???