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vendredi, 22 novembre 2024

Gabon/Déclaration du Ministère de l’Éducation Nationale : Réfutation des allégations de d’intoxication concernant le programme d’éducation à la santé sexuelle.

Au milieu des rumeurs persistantes concernant l’introduction de l’enseignement de l’homosexualité dans les écoles, de nombreux acteurs de la société civile et des représentants religieux ont vivement réagi, qualifiant cette initiative de véritable assaut culturel. Récemment, le Ministère de l’Éducation Nationale a décidé de sortir de son silence pour dénoncer une campagne de d’intoxication.

Le Ministère de l’Éducation Nationale, par le biais de son conseiller en communication, affirme que les éléments controversés sont en réalité contenus dans le guide de l’Éducation à la Santé Sexuelle et Reproductive (ESSR), élaboré en 2012 et exclusivement destiné aux enseignants.

Les autorités assurent également que, pour le niveau de 5e au secondaire, la question de l’orientation sexuelle n’est pas à l’ordre du jour.

Par conséquent, face aux critiques portant sur son rôle dans la réforme des programmes d’enseignement, accusés de promouvoir l’homosexualité dès le primaire, le Ministère de l’Éducation Nationale dénonce catégoriquement une « campagne de d’intoxication ».

En effet, le Ministère déclare qu’il s’agit simplement d’un « outil pédagogique destiné exclusivement à l’usage des enseignants pour la préparation de leurs cours, en respectant scrupuleusement les programmes et les directives officielles ».

Dans cette optique, le Ministère de l’Éducation Nationale précise que les progressions prévues pour le niveau de 5e au secondaire « ne font en aucun cas référence à l’orientation homosexuelle telle qu’elle est présentée dans certains écrits ».

Cependant, le Ministère déplore vivement la campagne de désinformation infondée qui est actuellement menée à l’encontre de l’enseignement de l’ESSR.    

Le fils du bled

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1 COMMENTAIRE

  1. La pression était forte au point de nier l’existence de cette connerie. Bravo à Ngoua Mbina, Foumboula et les autres gabonais qui ont se sont succédé pour dénoncer cette imposture.

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