L’Agence Blanc cristal organise sous la coupole du Ministère de l’Économie numérique, la 4e édition du concours des talents numériques, l’événement se tient depuis le 21 mars et prendra fin le 21 avril prochain.
Parrainé par le Ministère des eaux et des forêts, de l’environnement en charge du plan climat et de l’affectation des terres. La 4e du concours des talents numériques organisé par l’Agence cristal sous l’égide du ministère de l’Économie numérique se tient depuis le 21 mars et prendra fin le 21 avril prochain.
Cette 4e édition a pour thème central « Quelles solutions numériques face à l’impact du changement climatique sur la forêt, la mer et la biodiversité ? » Auquel thème s’ajoutent trois (3) autres sous-thèmes, à savoir :
1- « Comment les technologies numériques peuvent-elles contribuer à la préservation de la forêt du bassin du Congo et ses espèces protégées ? »
2- « Quelles solutions pour promouvoir une responsabilité numérique positive sur l’empreinte carbone et les effets du changement climatique ? »
3- « Quelles solutions numériques pour protéger les océans et préserver la biodiversité marine ? »
Aussi, plusieurs objectifs sont assignés à ce rendez-vous : notamment : favoriser la promotion et le développement de solutions technologiques reposant sur les enjeux liés aux défis climatiques, à la préservation de la forêt, à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ;
Rendre dynamiques les jeunes acteurs de la préservation de la forêt et de la biodiversité ;
Sensibiliser à l’usage du numérique responsable pour une réduction de l’empreinte digitale sur l’environnement.
Enfin, ce concours vise à désigner les futurs ambassadeurs et à les engager dans les actions préventives durables.
A cet effet, les start-up et les jeunes sont invités à participer à la réflexion sur la recherche de solutions numériques visant à réduire l’impact du changement climatique et ses effets sur la forêt du bassin du Congo.
Pour se faire, les candidatures seront classées en trois catégories, à savoir les élèves du CM2 à la terminale ; les étudiants et les start-up peurs/entrepreneurs, fait savoir le communiqué du ministère de l’Économie numérique.
La rédaction
