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mardi, 26 novembre 2024

DGBFIP : Quand les bonnes pratiques fâchent

Depuis la nomination de Fabrice Andjoua Bongo Ondimba le demi-frère du Président de la République Ali Bongo  Ondimba  jamais de mémoire des Gabonais, la prestigieuse fonction de Directeur général du budget et des finances publiques (DGBFIP) du Gabon n’a attiré autant d’animosité sur le responsable de cette administration financière de l’État.

Est-ce parce l’actuel dirigeant se trouve être un cadet du chef de l’État ou tout simplement parce qu’il se trouve être le fils de la Présidente de la Cour Constitutionnelle du Gabon ? Que certains malintentionnés ont pour objectif de diaboliser afin de fragiliser le pouvoir de Libreville dont la Haute Juridiction soutient par l’application des règles constitutionnelles.

En règle générale, tout pouvoir qui se veut sérieux a toujours besoin d’hommes et de femmes de cette trempe pour recadrer les choses lorsque la loi fondamentale du pays se trouve bafouée par certains concitoyens.

Désorientés par la maîtrise des méthodes d’orthodoxie de gestion des finances publiques instaurée par Fabrice Andjoua Bongo Ondimba depuis son avènement à la DGBFIP, les détracteurs de ce dernier n’ont plus qu’à jouer la carte de la diabolisation et de la diffamation. Des pratiques d’une autre époque qui visaient à nuire à la dignité des hauts cadres de la République.

Devenus des professionnels dans le ridicule, la diffamation stérile et la bêtise, les auteurs des allégations mensongères de malversations financières sur Fabrice Andjoua Bongo Ondimba et leurs macabres conspirations orchestrées par d’anciens apparatchiks du pouvoir trouvent leurs fondement en l’absence du manque du pouvoir qui leur échappe depuis la présence d’Ali Bongo Ondimba à la tête du pays pour impulser une dynamique nouvelle de gestion du Gabon.

Mais également et surtout pour ces conspirateurs du manque des honneurs induits et éhontés dont ils se prévalaient avoir vécus sous des lambris dorés du pouvoir et sur le dos du peuple. Aujourd’hui, ils n’ont que pour seul moyen de vouloir exister « politiquement » que l’attachement à l’invective, l’injure, l’instrumentalisation de la diffamation, la médisance sur la personne d’autrui, la haine et la division.

Alors que certaines mauvaises langues disent de Fabrice Andjoua Bongo Ondimba de n’avoir aucune connaissance des rouages de gestion de la chose publique, ce dernier a parfaitement surpris ses détracteurs avec la mise en œuvre au niveau de la Direction générale du budget et des finances publiques de nouveaux mécanismes visant la dépense publique le financement des marchés de l’Etat.

Tout cela renforcé par la mise en oeuvre d’un audit financier sur la dette intérieure de l’Etat. Cette batterie de mesures de canalisation des finances publiques a permis à l’État gabonais de disposer d’un véritable contrepoids à l’encontre des fossoyeurs des fonds publics. Et ce sont ces méthodes nouvelles de gestion dans la chaîne de valeur de financement de l’État qui semble fâcher les adeptes du ridicule et les professionnels conteurs de vent.

Thierry Mocktar          

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MEDIAPOSTE, est un media en ligne, qui traite, analyse et décrypte toute l'actualité du Gabon. Il existe depuis 2017.

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1 COMMENTAIRE

  1. Cette analyse me rend triste. Ou est la neutralité du journaliste là-dedans? Vous présentez des faits en même temps que vous prenez parti en défendant une tierce personne. Heureusement pour vous que ceci n’est pas lu par des nombreux du moins qui soient du domaine. Trop de subjectivèmes.

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