L’ancienne responsable du contrôle de gestion du groupe Ceca-Gadis, leader de la distribution alimentaire et de services au Gabon, récemment licenciée de l’entreprise, aurait été payée de tous ses droits conformément à la réglementation en vigueur au Gabon après ses 21 ans d’état de services, apprend-on de sources dignes de foi.
Une affaire qui a pourtant fait l’objet d’une intense récupération et d’une cabale diffamatoire de la part de certains « activistes » sur la toile qui en ont fait leurs choux gras à travers des spots consacrés au dénigrement de l’entreprise de droit gabonais.
Et à l’endroit de ses responsables dans le but de ternir l’image en faisant passer « l’affaire Rachel » comme victime d’un licenciement discriminatoire et de harcèlement. Alors qu’après avoir perçu ses droits, la concernée aurait adressé une lettre d’excuse à ses anciens responsables de tutelle.
Selon des sources concordantes, le licenciement de l’ancienne responsable du contrôle de gestion serait intervenu dans le cadre d’un plan social de départ volontaire dont plusieurs autres employés du groupe auraient contracté. Cela dans le respect de la réglementation en vigueur, indique-t-on.
Le retard observé dans le règlement de ce paiement était dû en partie à la mise en œuvre du plan social de départ volontaire initié au sein de l’entreprise pour sa restructuration nous aurait-on précisé.
Thierry Mocktar