En transmettant en février 2014, le rapport final d’études et de préconisations sur la stratégie de développement humain du Gabon (SDH) après sa publication par le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, du nouveau contrat social, la Première Dame, Sylvia Bongo Ondimba, a réaffirmé son engagement total sur la (SDH) du Gabon.
Une stratégie, estimée à plus de 225 milliards de francs cfa sur trois (03) ans, qui avait été adoptée au cours des premières assises sociales organisées à l’initiative du Président de la République, Ali Bongo Ondimba. En effet, malgré une crise financière mondiale aigüe, le document directeur relatif au schéma national sur le développement de la Stratégie de développement humain (SDH), certains objectifs n’ont pu être atteints dans leur mise en œuvre.
Malgré l’écueil financier lié à la récession de l’économie mondiale, la Première Dame du Gabon a poursuivi son action dans le cadre de l’accompagnement de la politique du chef de l’État, consacrée à la lutte contre la pauvreté, la précarité et les inégalités sociales. Avec pour mission première : la réduction considérable de la proportion des populations gabonaises économiquement faibles (GEF) sur l’ensemble du territoire national, dont l’on déplore, continuellement, l’aggravation en cette période de crise sanitaire.
L’élaboration du document sur la SDI fait suite à la décision des pouvoirs publics de prévoir une politique d’aide sociale au Gabon, au regard du système actuel (encore) trop opaque et inopérant. Le diagnostic posé sur la pauvreté au Gabon fournit, en effet, un certain nombre de pistes pour lutter efficacement contre le phénomène de la précarité et de sociale, dont la Première Dame, Sylvia Bongo Ondimba en fait son cheval de bataille.
Se faisant porte-parole des sans-voix du Gabon, depuis 2009, auprès de l’Autorité publique, pour l’épouse du chef de l’État gabonais « il est possible de détruire la misère dans laquelle vivent les populations ». Sylvia Bongo Ondimba a également développé une prise de conscience collective, au niveau national et international, sur les conditions de vie des veuves et de l’orphelin ainsi que sur les personnes vulnérables (handicapés moteur et physique), qui influent sur les cours des politiques publiques.
Sur le plan de la mise en œuvre, il a été demandé au gouvernement de procéder à la revue globale des objectifs stratégiques dans chaque département ministériel, afin d’identifier et prioriser les actions à fort impact social. Aujourd’hui, les gabonais attendent toujours impuissants, les yeux rivés vers la Première Dame du pays pour booster l’action du gouvernement en leur faveur pour les sortir de la précarité. Quand à la satisfaction de leurs attentes.
Thierry Mocktar