Les révélations d’un supposé financement occulte de certains medias par Ike Ngouoni, l’ex-porte-parole de la présidence de la République, a fait couler beaucoup d’encre et de salive dans le milieu de la presse privée. Il s’avère que parmi les medias donneurs de leçons, revendiquant d’être main blanche, beaucoup parmi eux seraient dans les mêmes conditions. Paradoxe. Le cas de Medias241.
La galaxie des médias dits « du palais » dont Médias 241, n’a cessé depuis les révélations tonitruantes, évoqué le financement de certains medias par Ike Ngouoni. Le tout aurait été sorti lors de son passage au tribunal de Libreville. Du coup, Médias 241 et ses comparses n’ont cessé de traiter leurs confrères de corrompus.
Pourtant, l’ex-patron de la Direction de la communication présidentielle n’a jamais cité de nom de médias, à l’exception d’un seul: Antowiners.
Cependant, on découvre pour le déplorer que les médias donneurs de leçons, se réclamant d’être mains blanches, seraient eux aussi financés par la présidence de la République.
La révélation a été faite par le média en ligne Mingoexpress.com, dans son article titré « dilapidation de fonds publics : Pablo Escobar n’est plus indiqué pour porter la parole du président de la République ».
En effet, selon cette source, « ce journal bénéficie tout de même d’un contrat avec la présidence de la République, contrat qui lui rapporte plus de 60 millions par mois » révèle le média.
Avant de poursuivre que « Pablo Escobar se sert de cette presse de caniveau, vomie par le peuple, pour pouvoir justifier les gros financements qu’il tire de la présidence de la République ». A fait savoir Mingoexpress.
Le fils du bled
J’ai assez de considération pour le sérieux de ce serveur…
Bonne continuation