Annoncé lors de la COP-27 de Charm el-Cheik en novembre dernier en Egypte, par les présidents Ali Bongo Ondimba et Emmanuel Macron, et co-organisé cette année par le Gabon – leader africain dans la lutte contre les changements climatiques et la protection de la biodiversité – et, la France, les travaux du Sommet sur la préservation des forêts tropicales (One Forest Summit) qui réunissent à Libreville plusieurs chefs d’État et de gouvernements ainsi que des experts internationaux, ce sont ouverts ce Mercredi 1er mars 2023 à Libreville par le segment ministériel.
Une rencontre au sommet dont le Ministre gabonais des forêts, le Professeur Lee White et la Secrétaire d’État français, Chrysoula Zacharopoulou ont conjointement placés sur un espoir de la communauté internationale d’intercéder en faveur de la préservation des forêts et la protection de la biodiversité.
Toute chose qui traduit de l’importance des enjeux de la rencontre de Libreville, au lendemain de l’accord obtenu à Montréal sur la préservation de la biodiversité.
« Nous devons exploiter durablement, gérer et préserver nos forêts, car elles représentent 20 à 30 % de la solution face aux changements climatiques », a rappelé le Professeur Lee White.
Pour qui la planète entière traverse une « crise » climatique dont la perte de la biodiversité est une menace importante qui s’étale sur des décennies pour l’humanité.
Sur cette question première, le Gabon, grâce à la politique instruite par les Autorités du pays en tête desquelles le Président de la République Ali Bongo Ondimba s’est inscrit en première ligne dans la lutte contre le réchauffement climatique et la protection de la biodiversité.
Il est à rappeler que trois grands bassins forestiers : la forêt amazonienne, le bassin du Congo et les forêts tropicales d’Asie du Sud-Est, constituent les poumons de la planète.
Thierry Mocktar
