Le Réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon (ROLBG), la Plateforme nationale de la société civile, et le Collectif des victimes de la crise postélectorale de 2016 ont récemment unis leurs voix suite au communiqué relatif aux conclusions du dialogue politique intensifié entre le Gabon et l’Union européenne (UE), les dits organismes exigent la prise en compte de deux résolutions de l’UE et une enquête indépendante sur les événements postélectoraux relate gabonreview .
Le ROLBG de Georges Mpaga, la Plateforme nationale de la société civile de Georges Bruno Ngoussi, et le Collectif des victimes de la crise postélectorale de 2016 se sont récemment exprimés sur les conclusions du dialogue politique intensifié entre le Gabon et l’Union européenne (UE) qui aura lieu certainement d’ici la fin du mois en cours faisait attendre l’ambassadeur de l’UE, Rosario Bento Pais.
Cependant, les trois plateformes de la société civile proche de l’opposition radicale menées par Jean Ping se sont particulièrement prononcer sur les questions de détentions provisoires et violences postélectorales de 2016. Ils exigent à cet effet, et avant toute autre initiative : « la prise en compte des deux résolutions de l’UE et la réalisation d’une enquête indépendante afin de faire la lumière sur les atrocités commises au Gabon lors de ses évènements douloureux et de situer les responsabilités. »
Pour les représentants de la société civile gabonaise, l’enquête en question devrait permettre de procéder à des recherches complémentaires sur les victimes des violences postélectorales de 2016, de déterminer la nature des violations ainsi que leurs auteurs et commanditaires.
La rédaction