Contrairement à la rumeur distillée, il y’a quelques jours, à travers les réseaux sociaux et autres canaux de diffusion dés informations, faisant état d’une évacuation sanitaire d’urgence de Marie-Madeleine Mborantsuo dans un état critique, d’où sa longue absence du territoire national, des sources concordantes ont formellement démenties ses allégations mensongères.
« Marie-Madeleine Mborantsuo va bien et se porte au mieux de sa forme », à laisser entendre notre source.
En effet, la Présidente de la Cour Constitutionnelle du Gabon se trouve hors du territoire national. Non pas pour des raisons médicales comme prétendu par ses détracteurs, mais pour une mission républicaine tout en assumant ses devoirs patriotiques au service de la Nation.
Comme elle l’a toujours fait. Qui en veut alors à Marie-Madeleine Mborantsuo par tout cet acharnement sur sa personne, dont on veut porter atteinte à la dignité et aux valeurs morales et d’éthique ? Ces allégations mensongères ramènent à nous interroger sur le bien-fondé ou non de l’utilité ou de la nécessité des canaux de diffusion des réseaux sociaux dans le pays.
Dont les contenus publiés par bon nombre de plaisantins malintentionnés sont diffusés à des fins de nuisance, de calomnie, de diffamation gratuite… Surtout des hautes personnalités, cibles évidentes de la « vendetta » d’une certaine opinion. Dans certains États du continent, les pouvoirs publics, dans le cadre de la préservation de la cohésion et la paix sociale, ont interdit sur leurs territoires l’utilisation de certaines de ces plateformes.
Le Gabon ne se devrait de suivre cet exemple qui n’entrave en rien les libertés individuelles. Mais qui protège contre les déviances de toutes sortes.
Thierry Mocktar