Le bac Marie, le moyen le plus sûr de rallier le district de Makouké dans la province du Moyen-Ogooué est à terre depuis plus d’un mois. Et pour cause, il est en train de subir des grands travaux de sablage, de peinture, de soudure et de chaudronnerie. C’est la société gabonaise de maintenance marine et l’industrie (SGMMI), propriété privée de Serigne Kane, opérateur économique d’origine Sénégalaise, qui a répondu favorablement à l’appel d’offre d’Olam Palm Gabon.
Ladite entreprise dont les travaux sont supervisés par Kévine Armel Obiang consiste à faire la maintenance marine et industrielle. Autrement dit, qu’elle intervient sur les navires notamment les remorqueurs, les barges et bien d’autres. En effet, cette maintenance de proximité vient à point nommé, car dans les provinces, il y a toujours des difficultés de transport logistique et financière pour déplacer un bateau à destination de Libreville ou Port-Gentil, dans le but de faire un bon dépannage.
À en croire que SGMMI, a compris qu’il a fallu procéder par la maintenance de proximité. D’autant plus qu’elle y est installée dans la province du Moyen-Ogooué.
‘’ Nous avions fait le tour de la problématique, et nous nous sommes dits, mais, pourquoi ne pas faire la maintenance de proximité ? Non seulement pour faciliter le travail, mais surtout pour réduire les coûts dans les interventions ‘’, expliquait le Directeur Général, Serigne Kane. Sans rassurer que l’entreprise est très disponible, tout en ayant suffisamment les moyens de sa politique pour un satisfecit total.
À en croire que SGMMI est doué en la matière, car le bac Marie a connu une véritable cure de jouvence.
Apprend- on par le canal de Kévine Armel Obiang, le superviseur QHSE que le projet du bac Marie qui a démarré le 28 août dernier, a une durée de 45 jours. Ce dernier a également rassuré que tout a été fait selon les normes à l’occurrence une analyse des risques par rapport à l’activité, suivie de la réunion de lancement des opérations (RLO) et faire l’impact d’environnement par rapport à la population.
‘’ Après avoir délimité la zone de sécurité, nous sommes passés à l’exécution du mode opératoire, qui consistait au décapage par jet abrasif ou sablage peinture ‘’, a laissé entendre le technicien de circonstances.
Newman