Samu Social Gabonais : Humanitaires, nous sommes, samusocialisé (e) s nous resterons, Dixit Dr Wenceslas Yaba.

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Dr Wenceslas Yaba sensibilisant les populations ©DR

« L’amour du prochain, savoir qu’on va tous s’en aller et que finalement faire du bien à nos semblables est la seule véritable satisfaction qu’on emporte avec nous. Humanitaires, nous sommes, samusocialisé (e) s nous resterons. Gloire à Dieu ! », Dixit le Docteur Wenceslas Yaba.

C’est par ces propos que le Coordinateur général du Samu Social Gabonais défini l’action humanitaire et sanitaire que lui et ses collaborateurs mènent au quotidien depuis quatre ans aux côtés des milliers de gabonais.              

En effet après près de 900 milles prises en  charge sanitaire et sociale auprès des gabonais démunis aux quatre coins du pays, et parfois dans les zones reculées et difficiles d’accès, tant en zone urbaine que rurale, le Samu Social a récemment innové dans d’autres actions hautement sociales : la prise en charge psychologique et alimentaire des citoyens gabonais défavorisés et exclus des soins de santé et sociaux dans les structures publiques traditionnelles, ou en difficulté d’alimentation dans leurs ménages et foyers respectifs par faute de moyens financiers.                        

La campagne dite de “De L’obscurité à la Lumière”, qui a reçu un large écho de satisfaction des populations sur l’ensemble du territoire national, est une action de bienfaisance qui a propulsée le Samu Social Gabonais comme étant la meilleure structure de prise en charge sanitaire et sociale de proximité avec ses dons gratuits de médicaments et offre de paires de lunettes correctrices. 

Par ces temps difficiles, les gabonais ont beaucoup plus économisé en soins de santé sans débourser un seul franc en soins de santé ni achat de médicaments au Samu Social Gabonais.                         

Toutes ses missions medico-humanitaires ont été salvatrices à plus d’un titre pour sauver la vie de nombreux gabonais. Le Samu Social Gabonais apporte ainsi de la ferveur, la confiance et la joie dans les localités reculées du pays, où il manque parfois un minimum sanitaire, et aussi une manière de reconnaissance du bien-être de ces populations laissées pour compte.

Thierry Mocktar  

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