Une vive controverse a éclaté suite aux déclarations tenues par Mme Aimée Délia Bilouni Ndjally et M. Juste Parfait Moubamba sur le plateau de Midi 1ère sur Gabon 1er le 4 janvier 2024. Ces propos, jugés diffamatoires par le Directeur Général des Arts et des Industries Culturelles, Magali Palmira Wora, ont amené ce dernier à engager des poursuites judiciaires en déposant plainte au tribunal de Libreville.
Les déclarations faites lors de l’émission ont provoqué une réaction immédiate et forte de la part du Directeur Général des Arts et des Industries Culturelles, qui a qualifié les allégations de mensongères et de dénonciation calomnieuse. Déterminé à protéger sa réputation et à réfuter publiquement ces accusations, Magali Palmira Wora n’a pas tardé à prendre les mesures nécessaires pour faire valoir ses droits en engageant une action en justice.
La plainte déposée au tribunal de Libreville en fin de semaine dernière marque le début d’une procédure qui pourrait prendre une tournure juridique sérieuse dans les prochains jours. Les audiences permettront d’apporter davantage de clarifications sur cette affaire et de déterminer la véracité des propos tenus lors de l’émission. Tant Mme Aimée Délia Bilouni Ndjally que M. Juste Parfait Moubamba devront répondre de leurs déclarations devant la justice.
Selon les informations disponibles jusqu’à présent, cette affaire met en lumière des divergences d’opinions et des désaccords entre les parties impliquées. La résolution de cette controverse pourrait potentiellement avoir un impact significatif sur la réputation des personnes concernées, ainsi que sur l’industrie culturelle dans son ensemble.
Sofia